Sons of Whistler
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Sous le soleil des Pyrénées

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Message  Dimi Dim 2 Nov - 9:56

Juste avant le début des vacances d'été, j'étais à Argelès avec mes parents... Et j'ai fait un petit aprem de DH avec mon papa ! Dès le lendemain, j'ai commencé à rédiger le début de ce qui serait un looong compte-rendu. Mais j'ai jamais voulu le finir, je me suis embarqué dans un truc trop long ^^ Mais bon, comme je vois qu'il y en a certains qui commencent à s'ennuyer, autant poster ce que j'avais commencé à écrire, ça vous occupera quelques minutes Smile Malheureusement pour vous, ça restera à jamais une histoire sans fin Razz (en fait, le tout le gros pavé que j'ai écrit, c'était juste la mise en situation : j'ai même pas commencé à parler de la descente x)) Bonne lecture Smile



 Mes mains gantées agrippent fermement la bête. Sans plus attendre, je soulève ce monstre mécanique et le retourne face à la pente avant de l’enfourcher et de le saisir par les cornes.
 Assis sur mon spad, les pieds posés au sol, je relève la tête, anxieux mais déterminé.
 Au coeur de cette forêt à flanc de montagne, plusieurs personnes observent attentivement la scène.
 En inspirant profondément, je profite encore une fois du paysage sauvage qui m’entoure. La forêt est baignée d’une lumière étrangement apaisante. Loin au-dessus de la cime des arbres, le soleil brille au milieu du ciel d’un bleu profond. Dans la forêt, les ombres se mêlent aux rayons du soleil dans une danse endiablée au contraste saisissant. Mon coeur bat la chamade.
 Dans quelques secondes, je vais donner le premier coup de pédale. La descente qui m’attend n’a aucune issue, je le sais.
 Une descente courte mais terriblement dangereuse.
 Une fois élancé, je devrai aller jusqu’au bout. Une hésitation, un faux mouvement et c’est la chute assurée. Une seule erreur et la roue avant de mon VTT se planterait entre deux rochers. Je finirais alors ma course quelques mètres plus bas, le dos brisé sur un rocher.
 Pourtant la crise d’angoisse qui menaçait de me m’emporter une minute plus tôt commence à s’évanouir. Je vais enfin savoir ce que vaut notre entraînement. Notre ? Je parle des Sons of Whistler, bien sûr. Oui, vous savez, ce team français prometteur né au coeur de la Bourgogne. Le moment est venu d’éprouver l’expérience chèrement acquise au cours des mes excursions avec mes frères spirituels.
 Le Breuil, l’Alpe d’Huez, Châtel.
 Des heures d’entraînement sous un soleil de plomb. Des blessures parfois indélébiles. J’ai l’occasion de me prouver que tous ces sacrifices n’ont pas été vain.
 Deux ans auparavant, je dévalais pour la première fois de ma vie des pistes de DH au coeur des Alpes.
 Un après-midi, à Carnot, Guillaume, alias la Guigne, m’avait proposé de partir rider à l'Alpe d'Huez avec lui et trois autres riders et vieux camarades de lycée, Emilien (Milouse la Pelouse), Quentin (Le Chacal aka la Pine), et Pierre (Pierrot le Butcher).
 A l'époque, j'appréhendais de m'essayer au VTT de descente. Mes précédentes expériences n'avaient jamais été très glorieuses. Impossible de sauter un gap, aussi modeste soit-il, sans perdre les pédales. Littéralement. Dès lors que mes deux roues décollaient — généralement d'environ quatre centimètres et demi —, mes pieds semblaient pris d’un irrésistible besoin de décoller, eux aussi… Ce qui menait irrémédiablement à une dissociation physique du VTT et de moi-même… Ce qui aboutissait le plus souvent à un atterrissage que je qualifierai d’ « intimement désagréable » — and that’s a mild understatement (et c’est un doux euphémisme).
 Mais cela n'avait pas semblé inquiéter Guillaume.
 — T'inquiète vieux, m'avait-il rassuré avec un sourire de circonstance, on est pas des bêtes non plus et tu verras, c'est pas si dur !
 Mais ça, c’était avant. Avant la Mégavalanche. Avant les gals de trois mètres, les soleils de la Pine et les blue balls of heaven. Avant les pistes noires de Châtel et la World Cup de Champéry.
  Je m'étais en effet laissé convaincre. Après tout, je n'allais pas être le seul à découvrir cette discipline puisque Pierre faisait également partie des nouvelles recrues.
 Eh puis, d'accord, Bizuth s'était cassé la clavicule lors de leur toute première excursion dans les Alpes, à Courchevel. Mais allons, restons sérieux… C’était Bizuth ! Pas de quoi s'inquiéter.
 Heureux de partir à l'aventure, je m'étais donc joint à l'expédition : destination l'Alpe d'Huez !
 Une excursion qui s’était révélée être la première d'une longue série.
 L'Alpe d'Huez, le Breuil, Châtel, Saint-Georges sur Baulches. D'expéditions en expéditions, des talents naissaient, d'autres se confirmaient. Une fraternité était née. Une communauté si soudée qu'il fallait bien au moins des cas de chirurgie extrêmes pour espérer les séparer le temps d’un après-midi. Les Sons of Whistler étaient nés.
 A force d'entraînements, nous avons appris de nos erreurs. Parfois dans la douleur. Souvent dans la souffrance. Mais toujours avec le plaisir de vivre intensément. C’est de la sueur de nos fronts et la boue de nos pneus que les Sons of Whistler se sont fait.
 Pas de théorie. Juste de la pratique, encore et toujours.
 C'est ainsi que nous avons appris sur le tas, souvent à nos dépens, à franchir un passage rocailleux sans planter la roue avant, à descendre des marches parfois plus hautes que nos spads ou encore à sauter des gaps grâce à un élégant bunny up.
 Vitesse, technique, agilité, nous avons développé des compétences à force de persévérance.
 Ma première descente à l'Alpe d'Huez était éprouvante et hasardeuse. Mais au fur et à mesure, j'ai gagné en confiance et je suis monté en difficulté. J’ai dû faire face à des situations de plus en plus extrêmes.
 — Vas-y, tu peux le faire !
 Les encouragements de ce rider pyrénéen me ramènent brutalement à la réalité. Au-dessus de moi, le vent a écarté la cime des arbres, si bien que le lieu où je me trouve est à présent baigné de soleil. Comme si les feux de projecteurs illuminaient la scène. Comme si la montagne était consciente qu'un homme est sur le point d'embrasser son destin.
 Mes questions et mes angoisses ne sont plus qu’un mauvais souvenir.
 Je suis un enfant de Whistler.
 Avec assurance, je donne le premier coup de pédale.
 C'est maintenant que tout se joue.


*


 Argelès-sur-Mer.
 10H21.
 Dans une chambre de la résidence de l'Orée du Bois, à la lisière du bois de pins, un rider se réveille.
 C'est l'un des enfants de Whistler.


 La lumière du petit matin s’infiltre dans ma chambre par l’interstice des volets mal fermés. On pourrait croire que je dors mais il n'en est rien. Allongé sur le dos, les yeux grands ouverts, je fixe le plafond.
 Avec un grand sourire accroché sur le visage.
 Aujourd'hui, je vais enfin remonter sur un DH. Cela fait maintenant dix mois que je n’ai pas ridé avec un véritable DH. Dix mois que je n'ai pas ressenti les frissons qui me parcourent le dos sitôt que serre un guidon entre mes mains.
 Dix mois.
 Une éternité.
 Il va pourtant falloir que je patiente encore quelques heures. Le départ n'est prévu que pour 14h.
 Trois jours plus tôt, je suis allé avec mon père à l'office de tourisme d'Argelès. Ces dix jours de vacances à la plage, il nous fallait bien les agrémenter de quelques randonnées à VTT. Mais l'hôtesse d'accueil nous a rapidement averti.
 — Nous n’avons aucun plan pour les randonnées en VTT. Mais je peux vous donner notre plan des pistes cyclables si cela vous intéresse ?
 Nous avons gentiment refusé. Déçus, nous sommes repartis bredouille. Mais nous ne pouvions pas lui en vouloir à elle, cette ravissante hôtesse d'accueil à l'accent méditerranéen ! Fort heureusement, mon père avait eu la bonne idée d'embarquer tout un tas de prospectus concernant le VTT que nous nous sommes empressés de lire une fois arrivés à l'appartement.
 C'est alors que nous l'avons vu.
 Le saint Graal des prospectus.
 La sortie VTT de descente !
 Avant nos vacances à Argelès, j'avais proposé à mon père de faire une sortie de VTT de descente dans les Pyrénées, si l'occasion se présentait. Il n'avait pas semblé totalement contre.
 J'ai donc insisté pour qu'on tente l'aventure. Après plusieurs jours à dorer tranquillement au soleil, il était d’humeur joviale et a accepté sans hésitation. Sans attendre, mon père a composé le numéro indiqué sur le prospectus. La sortie était organisé par le camping La Sirène.
 — Allô ?
 La voix au bout du fil était celle d’un homme.
 — Bonjour. J'aimerais savoir s'il est possible de faire une sortie de VTT de descente demain.
 Pas de réponse. L'organisateur semblait consulter son agenda.
 — Pas de sortie demain, Monsieur. Mais jeudi, peut-être. Il y a déjà une personne intéressée.
 Mon père lui laissa son numéro de téléphone pour que l'organisateur le rappelle afin de confirmer. Ce qu'il fît peu de temps après.
 Alors que j'enfile mon Pull-In jaune rembourré, je repense à cette conversation.
 Il y a déjà une personne intéressée.
 Se pourrait-il que l'on ne soit que trois ? La sortie a lieu ce jeudi, un jour d'école. On sera forcément un petit groupe.
 Je me réjouis à cette idée. Dévaler les Pyrénées avec mon père, un guide et éventuellement un troisième rider, ce serait l’idéal.
 Il ne reste plus qu'à attendre pour en avoir le coeur net.
 Un quart d'heure plus tard, nous sommes fin prêt. Désireux de commencer à rider au plus vite, c'est en VTT que nous nous rendons au camping La Sirène. Trois kilomètres tout au plus. Une douce mise en jambe avant d’attaquer les choses sérieuses.
 13h50. Nous arrivons devant l'accueil destiné aux randonnées à vélo. Personne. Je suis de plus en plus impatient.
 Après deux ou trois interminables minutes, un rider arrive en VTT. Un magnifique Specialized blanc. Mais pas de double Té. Après avoir été habitué à en voir à Châtel, j'étais quelque peu déçu.
 — Julien, enchanté. Je serai un guide accompagnateur, nous explique-t-il avec un léger accent espagnol. Je viens en reconnaissance pour pouvoir être guide à mon tour cet été, durant la pleine saison.
  Il déposa son vélo contre le mur de la cabane en bois qui faisait à la fois office de bureau et de garage. Fourche Fox.
  — Nous serons cinq au total, poursuit-il. Le guide, vous deux, une autre personne et moi-même.
  Mon père demande à régler et nous continuons ainsi de discuter pendant quelques minutes. Je lui raconte brièvement mes aventures alpines en compagnie des Sons of Whistler, notamment la descente de la World Cup de Champéry — en insistant bien sur le fait que je l’ai principalement descendue à côté de mon vélo. Mais quoique que je dise, aucune lumière ne s’allumait dans ces yeux.
 — Ah, bon. Je ne suis jamais allé dans les Alpes, déclara-t-il laconiquement.
 Encore une fois, je suis déçu. Ce type là ne semble pas avoir la flamme.
 A ce moment, un autre participant entre dans la cabane. Nicolas, un Parisien qui sort d'une école de commerce dont je n'avais jamais entendu parler et qui travaille désormais dans les éclairages de toutes sortes. Il réside au camping. A l'entendre, il se débrouille assez bien avec un vélo. Ni excellent, ni mauvais. Ce qu’il affectionne avant tout, c’est faire du VTT dans les chemins de forêt.
 Le guide fait finalement son apparition. Il nous salue, puis nous grimpons tous à bord de la camionnette censée nous conduire au sommet de la montagne, jusqu'à cette énorme antenne que je peux voir tous les jours depuis le balcon de notre appartement. C'est haut.
 Le guide nous informe que le trajet durera environ une heure.
 Le temps passe assez vite. Avec le Parisien, on parle biclous, Andorre, motocross et commerce. Lui qui voulait monter le lendemain en VTT et refaire les pistes que nous allons descendre réalise rapidement qu'une telle montée tient de l'exploit. En comparaison, les épingles à cheveux de l'Alpe d'Huez ne sont qu’un vulgaire parcours-santé.
 La route que nous empruntons est particulièrement raide et sinueuse. Des vaches nous barrent parfois la route et nous devons alors attendre qu’elles daignent se décaler.
 Finalement, à la sortie d'un virage, nous apercevons le sommet de la montagne.
 Et l’antenne.
 De là-haut, la vue est à couper le souffle. Collioure, le Racou, le Boulou, Argelès-sur-Mer et Argelès Ville, tout semble si petit. Un peu plus loin, on aperçoit Perpignan. Et plus loin encore, d’autres villes et villages. On croirait se trouver à bord d’un avion. Les terres et, à droite, la mer Méditerranée, semblent aussi plates l’une que l’autre, ce qui contraste fortement avec les montagnes environnantes qui s’élèvent majestueusement au-dessus du reste.
 — 1256 mètres de dénivelé, déclare le guide. En temps normal, nous descendons jusqu’à un village en contrebas où la camionnette nous attend pour nous ramener au camping. Puisque vous n’êtes que trois, nous allons rentrer directement en VTT, si vous m’apportez la preuve que vous êtes sportifs, nous dit-il d’un air malicieux.
 J’étais vraiment excité à cette idée, tout comme mon père et le Parisien.
 — Normalement, nous passons par l’Espagne, poursuivit le guide en désignant les montagnes derrière nous. Mais aujourd’hui, le vent souffle bien trop violemment. Nous descendrons donc directement sur ce versant pour s’abriter dans les bois et ne pas être trop longuement exposé aux bourrasques.
 A ce moment là, comme pour appuyer ces propos, le vent redouble d’intensité. Les rafales sont d’une puissance incroyable et j’ai la désagréable impression de pouvoir être balayé dans le vide à tout moment.
 Les protections que nous récupérons à l’arrière de la camionnette sont assez sommaires. Coudières, genouillères et casques de vélo de route. Je refuse poliment les gants que me propose l’espagnol et enfile avec fierté mes magnifiques Troy Lee Design rouges. Mon père, lui, était pris dans un combat sans merci avec sa languette de coudière droite, trop courte pour faire le tour de son bras… Quelle idée d’avoir un tour de bras aussi énorme !
 — Tu peux prendre ce vélo, me lance l’espagnol en désignant l’un des Commençal bleus posés au sol.
 J’empoigne la bête de mes mains chèrement gantées, la redresse et l’enfourche. Bonnes suspat’, je rebondis bien rien qu’en posant mes fesses sur la selle. C’est peu mais je jubile intérieurement. Quel bonheur de retrouver ces sensations après si longtemps !
 L’espagnol s’assure que le réglage des suspensions est adapté à mon poids. Aucun problème à ce niveau là. Mais exigeant comme je le suis, en bon Son of Whistler, il fallait bien que je trouve quelque chose à redire ! Le réglage de la hauteur des poignées de frein y est passé.
 Maintenant que nous sommes tous prêt à rider, nous nous rassemblons en demi-cercle autour du guide — un demi-cercle de trois personnes, certes, mais un demi-cercle quand même. Il s’engage alors dans un long monologue au cours duquel il explique quelle est la position à adopter sur un DH, quels types de pistes nous allons devoir affronter et comment effectuer un freinage efficace. Je l’écoute avec attention, croyant — avec une modestie feinte ? — avoir encore beaucoup à apprendre. Mais lorsqu’il arrive à la fin de son discours, il devient évident que l’entraînement made in SoW a été efficace. Il n’a rien pu m’apprendre.
 — A présent, nous allons pédaler jusqu’à l’antenne puis redescendre, déclara le guide d’une voix forte pour couvrir le bruit du vent. En bas, vous emprunterez ce passage pour que je voie comment vous vous débrouillez.
 Le passage en question était ridicule pour un rider de ma trempe. Et pour quiconque, d’ailleurs. En réalité, le guide veut simplement s’assurer que nous nous plaçons bien en arrière de la selle lors d’un passage assez raide. Celui-ci ne fait pas plus de deux mètres. C’est comme descendre dans un fossé.
 Impatient de passer aux choses sérieuses, j’emprunte la route goudronnée qui mène à l’antenne et pédale comme un Son en manque jusqu’au sommet. Une fois en haut, il me faut attendre les autres. Puis nous redescendons un par un, le guide en tête, mon père à sa suite, moi et le Parisien. L’espagnol ferme la marche.
 Nous passons tous sans encombre la petite descente.
 D’un air approbateur, le guide nous félicite. Nous nous mettons alors en route.
 Nous devons rouler une centaine de mètre sur la route afin de rejoindre le début des pistes. Heureux de rouler enfin sans pédaler, je m’autorise quelques petits bunny up afin de ressentir le comportement de mon Commençal. C’est de la folie pure. Un vélo bas de gamme, une fourche simple, mais une vivacité très agréable
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Message  Pierre Ven 7 Nov - 22:13

Ce texte n'est que pure poésie Dimitri.
Le prix Goncourt a malheureusement déjà été attribué, mais nul doute que tu aurais également mérité cette récompense...
Je suis vraiment déçu que ce récit s'arrête si abruptement car le suspense est à son comble! Surtout compte tenu du tout début de l'histoire: toi face à un défit qui te laisse hésitant, mais que tu n'auras pas tardé - j'en suis sûr - à surmonter.
Dans tous les cas, il faut bien saluer tes compétences littéraires. En deux mots, comme en cent : chapeau l'artiste.
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Message  Milouse La Pelouse Sam 8 Nov - 13:04

Alors là, je dis MONSIEUR Dimitrou =)

Effectivement, le suspense est à son comble et il me tarde d'avoir la suite Smile
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Message  Le Tabasseur Sam 8 Nov - 13:41

Oui, Dimi, t'abuses, c'est monstrueux ces récits, c'est le nerf du forum, c'est ce qui nous donne envie de rouler plus que tout, moi je crée une pétition "Pour avoir la suite du récit de Dimi", parce que dans le fond, tu dois bien t'en souvenir de ce moment si intense, alors maintenant, à toi de ouéj, balance la sauce, rentre dans le vif, taille dans le lard, on attend que ça !
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Message  Dimi Sam 8 Nov - 16:22

Vous êtes tous très gentils Smile (par contre je me rends compte que j'ai eu beaucoup de mal à tout faire au présent, je viens de voir qu'il y avait parfois un mixe passé-présent... hum ^^)

Je continuerais bien mais pour l'instant j'ai pas vraiment le temps de me replonger dedans !... parce que l'ESC Dij', bien que modeste, bouffe un sacré paquet de temps ! Et j'ai pas non plus la foi pour l'instant, en plus c'est chiant d'écrire au présent Razz
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